De nombreux produits d’origine animale continuent d’être utilisés en recherche, y compris pour les méthodes dites “alternatives” non-animales, telles que les cultures cellulaires in vitro et les organoïdes. Le sérum de veau fœtal (SVF) est le plus répandu, avec une production mondiale annuelle d’environ 600 000 à 800 000 litres, provenant d’environ 1 à 2 millions de fœtus bovins (Festen, 2007). Outre les préoccupations éthiques majeures soulevées par l’origine du SVF, il existe aussi des arguments scientifiques et méthodologiques pour abandonner son utilisation. Quels sont ces arguments, et comment faire pour changer nos habitudes de culture cellulaire ? La réponse sur le site du FC3R.
Doris Lou Demy