Des études (ici et là) sur des dizaines de milliers de chercheurs du milieu académique montrent un taux élevé d’anxiété, de dépression et de surmenage. Cette situation alarmante résulterait notamment d’un environnement de travail difficile : compétitivité, pression de la publication, CDD, discrimination, harcèlement… Selon l’auteur, il est nécessaire que les institutions se saisissent plus efficacement de cette problématique pour que les chercheurs retrouvent satisfaction et épanouissement, – c’est l’avenir de recherche et de l’enseignement qui est en jeu.
Laurent Maillet