Olivier Leclerc, chercheur au Centre de théorie et analyse du droit, vient de publier un article dans lequel il se pose la question de savoir si une personne qui fait un signalement de manquement à l’intégrité scientifique peut juridiquement se prévaloir du statut de « lanceur d’alerte » – et s’il y a intérêt. Dans une interview réalisée avec l’Office français de l’intégrité scientifique, il expose de manière très pédagogique son analyse de ce sujet complexe. Cet entretien de 15 min est un excellent aperçu des réflexions qui pourront se développer autour de la diversité des approches concernant la notion de « signalement de faits problématiques ».
Ghislaine Filliatreau