Thème 5 : Si nous avions une baguette magique, comment pourrions-nous améliorer à l’Inserm l’encadrement des jeunes scientifiques en formation dans nos équipes ?
Thème 5 : Si nous avions une baguette magique, comment pourrions-nous améliorer à l’Inserm l’encadrement des jeunes scientifiques en formation dans nos équipes ?
Données sur le temps passé par les doctorant·es avec leur encadrant·e
Données sur le harcèlement des doctorant·es subi sur leur lieu de travail
Différence de perception sur l’implication des « principal investigators » dans les travaux d’équipe entre eux/elles-mêmes et leur équipe
Recommandations de chercheur·es sur des mesures à prendre en faveur de l’intégrité scientifique, notamment en termes de soutien des personnels
Question posée : Comment mettre en place un encadrement plus satisfaisant pour les jeunes scientifiques (master, doctorant, post-doctorant) ?
existence d’outils et de pratiques améliorant les échanges entre encadrant·es et encadré·es
le système de médiation des ED permet de résoudre de nombreux conflits
pour l’encadrement en thèse, création d’un groupe sur Whatsapp et power point en ligne pour les résultats
existence de formations pour les encadrant·es et encadré·es
formation de tutorat de l’Inserm pour les nouveaux encadrants (2 jours) ou formation obligatoire d’encadrant dans certaines universités (2 jours).
mise en place d’un accueil des nouveaux entrants : Hygiène sécurité, Formation spécifique des nouveaux entrants au L2, Mise en place de référents techniques
des conditions de travail rendant l’encadrement difficile
manque de temps en raison des nombreuses responsabilités que peuvent avoir les encadrant·es et durée de la thèse trop courte; pression externe liée au “publish or perish”
pas assez d’encadrant·es
non valorisation des activités d’encadrement par les institutions, notamment pour les ITA
des encadrant·es et encadré·es mal préparé·es ou mal choisi·es
difficultés d’encadrement liées au mauvais recrutement (niveau insuffisant du/de la doctorant·e)
manque de formation des encadrant·es; le diplôme d’HDR ne prend en compte que les activités de recherche
des outils pas assez utilisés ou peu opérants
outils en place pas assez utilisés : comités de suivi de thèse (inexistant pour les post-doc), conseil de laboratoire, médiateurs dans les structures, chartes de thèse non lues
difficultés avec le cahier de laboratoire électronique (non convivial, problèmes de connexion)
des facteurs rendant l’intégration des encadré·es difficile
manque de communication dans les laboratoires; complexité des sites multi-tutelles
manque de support (pour l’analyse informatique notamment)
former les encadrant·es et encadré·es
formation des encadrant·es; formation à l’encadrement évolutive pendant la carrière sous forme de module court tous les 3 ans; suivi des encadrant·es
formation des jeunes chercheur·es à leur arrivée
formations sur le droit du travail
accompagner l’encadrement par des tierces personnes et des dispositifs
renforcer l’entretien professionnel (feedback encadré·e/encadrant·e)
Tutorat; médiateurs ou parrains/marraines extérieur·es à l’équipe
Verbaliser les problèmes et communiquer plus ; séminaires à caractère non scientifique
Favoriser le développement d’associations pour les nouveaux entrants
Plus et mieux utiliser les comités de suivi de thèse : « Peut permettre de dénouer un conflit, permet de placer des objectifs aux étudiants. Permet d’identifier les problèmes scientifiques et les difficultés de l’étudiant en amont. Utile pour les encadrants et les doctorants. »
encadrer ou formaliser l’encadrement
Inclure une disposition sur l’encadrement dans le règlement intérieur
Etablir des critères d’évaluation d’un encadrement réussi
créer un cadre de travail propice à la recherche et qui encourage à se lancer de ans l’encadrement
Valoriser l’encadrement dans l’évaluation des personnels
repenser l’évaluation et le financement de la recherche
rebooster la motivation des personnels
Temps d’échanges dans les équipes sur l’éthique, l’intégrité scientifique et le harcèlement
mettre en avant le travail d’équipe dans la formation des doctorant·es