Interrogées sur les problèmes les plus importants auxquels elles sont confrontées dans leur milieu professionnel, les remarques sexistes et le harcèlement sexuel sont cités par respectivement un tiers et un cinquième des femmes travaillant dans le monde de la recherche selon une enquête de la Fondation L’Oréal. Largement commenté dans la presse nationale, l’ampleur du phénomène en dit long sur la situation qui règne encore dans la recherche cinq ans après le début du mouvement, #MeToo. Pas de doute : il faut continuer à dénoncer ces pratiques qu’on voudrait croire d’un autre temps.
Catherine Coirault